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Réflexions libérales réagissant à l'actualité sur l'Océan Indien et France

mardi 16 novembre 2010

Jean Michel Quéré l'escroc thénardier démasqué

funeste comédie d'un  pendu imaginaire ...Une mise en scène d'un faux suicide raté
dénomination social  eurl Nouvarive  RCS Saint Pierre de la Réunion TGI 440 780054 N°de gestion 2002B41
 cette escroc né le 17 Novembre 1964 à Landerneau (29)
sa spécialité s'improviser thénardier et surtout arnaqué le maximum de monde
il est dingue de découvrir chaque jour un nombre incalculable de gens tombé dans son piège à croire ce mythomane expert du mensonge et de la manipulation  

mardi 28 septembre 2010

Procrastination


Outrepassons toute l’activité politico politicienne jacobine foisonnante de ce pays, il devient ardu de discerner une cible tant les chapons gallinacés incommodes  courent sans cerveau au milieu du champ de tir se font nombreux et bruyants. Et soudain, en pleine confusion, alors que chaque volée de plombs  dans la basse cour en bois d’ébène emporte avec elle une belle douzaine  crane d’œuf d’imbéciles élus, la magnificence  de différents spécimens de profiteurs renfrognés  semblent apparaître. Et c’est là je vous offre une véritable pépite d’adulescence affligeante  et « Hopeless » que nous offre manifestement ce pays , voyageant d’un pas décidé vers les nouvelles steppes et autres approches paysagères  d’une conformité socialoïde à la fois mollesse et rock’n'roll haevy metal et la kyrielle de configurations cacophoniques qui l’entoure. Si si, croyez moi c’est possible. « Hallowed Be Thy Name »
Le sujet abordé en devient presque si  palpitant au quotidien qui s’articulait jadis  encore de mélodie éphémérides en effet l’histoire  serait encore un peu troublante de ce nouveau concept d’ explorateurs de l’alter sociétale, ces gens qui ont, sciemment, choisi de ne pas ou jamais travailler de leur existence .
J’ai découvert par le parfait hasard  dernièrement  sur plusieurs éditoriaux captivé par le titre : « Ils sont déterminé de ne plus travailler », voilà qui semble fort intéressant, non ?
Dans cette époque formidable où on nous répète que travailler plus permet de payer plus d’impôts deviendrait une plaisanterie cosmique, toute échappatoire aux robustes vilebrequins fiscaux que le gouvernement Jacobin fait de son mieux pour en appliquer  de nouvelle recette tous les jours avec soin est bonne à prendre… Eh oui : de prime abord, choisir de ne pas travailler est une option rarement appréciée : vous allez me dire qu’il faut bien manger, et tout le monde n’a pas la chance de voir débarquer un Notaire un beau matin vous vernir d’un  héritage  d’un riche oncle d’Amérique ou encore d’être l’heureux veinard   de l’euro million .
Flairant brusquement que le sujet en question n’évoquerai pas les rentiers et autres fortunés millionnaires enchantés d’enchaîner sur les  nuits festives de folies mondaines à Ibiza, je méditais qu’on approcherai l’intéressante aventure attirée par ces individus qui s’investissent complètement dans une passion et décident, tentant le tout pour le tout, d’en vivre d’une façon ou d’une autre.
Je m’apprêtais donc à découvrir le prochain Van Gogh, le futur interprète de génie qui progressait  pour se lancer dans une nouvelle approche de la matière, de la couleur, tenter à l’image  Roat Romano Choucalesco, destructureur d'intemporalité  des inconnus à ne pas peindre en peignant ? Je vous  apostrophe que nous sommes ici dans l’intemporalité, et pour y parler peinture  ce n’est pas précisément impossible. Allons nous ici transcrire par le menu les petites dispositions qui permettront à chacun de se lancer dans cette sensationnel quête émotionnelle  ?
Pardi Bah non y  pas marqué la poste .

En fait, si. Mais l’aventure est plutôt celle avec un petit ‘a’, tout petit A, à peine plus gros que le point du ‘i’ de ennui.
Car ce que nous offre ces gens, ce n’est que l’autre versant  de la pente du non-travail du refus de travailler  la pratique de la glande totale et en plus de  assumer parfaitement , le rien chimiquement pur, de longues séances à écouter une horloge comtoise  battre les secondes dans une cuisine un peu sombre, à la table recouverte d’une grosse toile cirée au motif vichy épouvantablement tendance.
Juste pour relater l’aspiration particulière du non-travail et les non-aventures du premier crétins immature venu qui a heurté de plein fouet la maturité pour rebondir d’où il venait, c’est-à-dire une espèce d’adolescence mollassonne  fait de multiples rafistolages bizarroïdes dans des après-midis chiant comme la pluie des mercredi sans écran plasma 
 Pour finalement totalement assumer les conséquences , puisqu’un ouvrage va paraître bientôt sur ce sujet, ouvrage dont le titre lui-même "Libre, seul et assoupi" de Romain Monnery
Evoquerait évidement cette torpeur languissante où la lourdeur des paupières …
…mouaaah
excusez-moi, j’en baillerais presque

fichtre diantre t’elle est devenue l’état naturel dans lequel sont plongés les adeptes de cet hyper-mouvement plein tonus et de peps, de vie et d’avenir dans ce joli pays franchouillardise revigorante.
Le raisonnement est cruellement  voir férocement le suivant : puisqu’il est plus ou moins difficile de trouver un emploi en France, puisque l’État Jacobin Keynésien  providence maman sera toujours la pour le  cocoonise courageusement à violents coups de disparates calfeutrage et ouate sociale, et qu’en plus de ça, d’aides en subventions, de RSA en exemptions de toutes taxes obligatoires , certains ce sont dit on pourrait donc arriver à survivre plusieurs années ainsi  logé et nourri dans ce monde feutré , de cette non-action frénétique, autant s’en donner à cœur-joie… ou disons, autant le faire carrément, à fond, à fond, à fond, total trip, surtout ne pas oublier tout de même de récupérer quelques sucrettes au  café du coin, faudrait surtout pas gâcher les petits plaisirs.



Apologie de la procrastination, dans l’ indifférence mollassonne et si nihilisme relaxant voir se reposant exclusivement  sur la  capacité  du  travail des autres pour assurément et passionnément  à ne rien faire, tant l’ouvrage que le sujet démontrent fort bien qu’effectivement à les signes avant coureurs affirmés , dans un monde pré-communiste soviétisant où la misère sera généreusement partagée entre tous, on peut fort bien vivre au crochet de tout le monde, assumer, et ne pas s’en sentir plus malheureux que ça.
Notez qu’il s’agit ici tout de même au plus de ne pas être malheureux , et non de viser le bonheur; difficile, en effet, de se sentir à la fois épanoui et motivé quand on carbure aux biscottes et qu’on mesure chaque effort au millimètre près. C’est ainsi qu’on en vient à se fixer des buts extrêmement modestes, à la mesure de l’énergie dont on dispose : exemple concret d’une décroissance joyeuse au moins en voilà quelques un qui feront pas de lapsus entre fellation et inflation , on sent que ce style de vie va connaître un franc succès foudroyant.
Et l’acceptation revendiquée bruyamment de cette non-existence sera fort utile pour les socialistes de droite et les socialistes de gauche voir des extrêmes  qui nous gouvernent et qui, eux, n’ont pas tout à fait les mêmes contraintes les biscottes, cela fait longtemps qu’ils n’en font plus acheter par leur esclave de coursier favori, ou alors, seulement pour le y joindre les œufs de  caviar : c’est bien connu en France , il est bien plus facile de tondre des moutons lorsque ceux-ci sont calmes et dociles. On comprend dès lors pourquoi, consciemment ou non, les sbires de l’Etat Jacobin développe une énergie  absolument  surprenante pour  venir en aide à tout ces individus qui ne travaillent pas et qui refusent le travaille ; si la situation devenait intenable, la révolution ne serait pas loin : si le système communiste a pu tenir aussi longtemps, c’est essentiellement parce que la pauvreté était relativement bien redistribuée, les élites et autres apparatchiks  du pouvoir suffisamment loin du peuple pour éviter de leur jeter à la face le faste et l’opulence dans lesquels ils cohabitaient.
En outre, tout fut fait entreprit et agencé  pour que, justement, les pauvres restent des  pauvres, mais pas trop : rien de pire qu’un ventre vide, qui conduira inévitablement  à toutes les extrémités. Alors qu’un ventre au trois-quart vide, c’est toujours une opportunité de se réjouir et une auto satisfaction de le savoir un quart plein, avec ce petit bonheur incandescent microscopique de se dire qu’en plus, on ne devra rien  à personne. Ou presque, puisqu’ indubitablement, tout ça ne fonctionnera que tant que des pigeons continueront à payer pour tout les autres.
Et lorsque le nombre de profiteurs, un beau matin, devient trop lourd à supporter par les pigeons ou moutons voir mougeons moitié pigeons et moutons …
Ce  pays est foutu.




dimanche 26 septembre 2010

Et encore une journée mondiale ...

Il est question de maintenir  le rendement  festif dans une continuité permanente en République Jacobine du Bisounoursland. Vu que  tout le monde à le devoir social d' aimer son prochain, et que celui-ci est tout divers et multiple de tous les côtés, notre étatisme bienfaisant  multipliera donc, à l’instar des fêtes de Saints jadis, les journées mondiales consacrées à de bruyantes démonstration de cet amour humide et citoyen. Mais il y aura cependant des thèmes toujours oubliés…

  lorsque l'on prend le temps de consulter la liste des journées mondiales (car une telle liste existe et elle en est… stupéfiante), vous  constaterez que moult thèmes sont abordés, que force tendances sont représentées, sauf, bien sûr, les plus extrêmes, et c’est bien normal : une journée internationale du joli meurtre crapuleux serait, on en conviendra, une idée d’assez mauvais goût pour faire dans le sordide   .
Cependant, si l’on écarte ces petits extrêmes ridicules, on peut être quelque peu surpris d'y  faire des  découvertes  que n’existent aucune journée de sensibilisation à des réalités pourtant essentielles. Ainsi, bien qu’on ait droit à une journée mondiale de la mémoire de l’Holocauste, on n’en a pas pour la mémoire de l’Holodomor.

Dans un autre registre, on a bien une sympathique journée mondiale des arbres de la forêt, mais bizarrement, aucune journée mondiale des plantes des anthuriums au balcon. Je sais c’est d'autant plus discriminatoire pour les azalées en pot, non ?
Évidemment, il n’y a pas non plus de Journée Mondiale de la Promotion du Jacobinisme et  Keynésianisme, puisque dans la  pratique, c’est un peu la fête  tous les jours actuellement.
Symétriquement et toutes plaisanterie mal foutu et blagues à part, il n’y a absolument aucune journée mondiale du capitalisme. Or, force de constater , quand on voit que chaque pays qui en est privé est dans la misère la plus noire, et que dès qu’on laisse les habitants libres de choisir entre le communisme et le libéralisme, ils choisissent, de facto, plutôt le second que le premier, on peut se demander pourquoi on donne autant de place à certaines journées (Journée sans viande, par exemple, Journée Mondiale de la Santé Bucco-Dentaire, etc…) et aucune à ce qui a, très concrètement, sorti de la misère un nombre tous les jours plus grand d’humains…
Journées Européennes du Capitalisme
Oh, je sais que certains, socialistes refoulés qui me liront  (en cachette, hein n'ayez pas honte ) tous les jours, vont se dire sous manteau  que ce modèle  de propositions sont Tabsolument Skandaleuses, que ce serait Thonteux de jeter ainsi à la face du monde (socialement-démocrate) de Bisounoursland des slogans aussi provocanteurs, incitant les gens à faire des affaires (plutôt que se cogner dessus et se faire la guerre, par exemple)…
Journée Mondiale du Libéralisme
Mais après tout, quelle importance et différence y aurait-il entre le lobbyisme et  propagande des pro-réchauffisme pastèques , pro-sociale-démocratie qu’entretiennent à grand frais les organisations gouvernementales ou non, et les propositions ci-dessus ?
Pourquoi les pensées philosophiques qui ont permis l’avènement de tant de progrès pour l’humanité n’auraient elles pas le droit de citer, entre les Forêts de bonzai et les Fromages qui puent , à leur journée mondiale ?
De la même façon, il est étonnant de ne constater aucunes Journées Mondiales de la Chimie ou de la Physique Nucléaire qui seraient officiellement soutenues par les Nations-Unies ou l’Union Européenne. Pourtant, la première à proprement parlé  aura permis d’apporter tellement  de bienfaits qu’il ne serait que justice de lui rendre un glorieux  hommage fraternelle . Quant à la seconde, la plupart des électrons libérateurs  de la mécanique cantique  qui vous permettent de lire cette tirade  et pour votre serviteur  de le produire ont été agités, au départ, par des engins issus directement de cette physique qui n’est parée que de vices là où on en dispose à volonté, et que tant de populations souhaiteraient avoir pour bénéficier des considérables améliorations qu’elle apporterait.
Ce deux poids / deux mesures démontre, par quel contraste absurde , la vraie  raison et motivation de bon nombre  de ces Journées Mondiales ; humanisme clairvoyant de faire passer des messages essentiellement politiques dans le domaine de l’action citoyenne désintéressée, alors qu’ils sont tout, sauf. La promotion de la sociale-démocratie, du collectivisme douillet pro-action de groupe et anti-individualisme ne peuvent absolument pas  favoriser l’émergence d’un discours qui est, en pratique, aux antipodes de celui qu’on paye chèrement de nos impôts ; eh oui, les thuriféraires de l’étatisme marchant  ne viendront pas se tirer une balle dans le pied et prôner plus de libéralisme  … moins d’état et plus de responsabilité individuelle.

samedi 25 septembre 2010

"Une île seule ne fait plus rêver"

La Réunion et l’île Maurice sont les fers de lance du projet "Iles Vanille" qui vise à vendre "un package océan Indien" aux touristes d’Europe et d’ailleurs. Assouplissement des visas, accès aérien... Il s’agit désormais pour les îles soeurs de travailler ensemble.
"Tant qu’il y aura des îles, le mythe du voyage va continuer. Mais une île seule ne fait plus rêver, après 10 heures ou 12 heures de vol", indique d’emblée le ministre mauricien du Tourisme, Nandcoomar Bodha. Pour lui, il y a des dimensions institutionnelles et politiques importantes. La première est le visa. "C’est le symbole incontournable de cette coopération, c’est une question primordiale que le Premier ministre Navin Ramgoolam a abordé avec le président Sarkozy", ajoute-t-il, persuadé d’avoir des avancées très prochainement dans ce domaine. Autre dimension importante : l’accès aérien."J’ai demandé aux compagnies aériennes qu’il y ait une profitabilité et une tarification acceptée par tous. Mon rêve est de voir un vol horaire entre la Réunion et Maurice (...) La dynamique de l’accès aérien est importante." L’île Maurice négocie actuellement l’ouverture d’une ligne avec la Russie : "On peut avoir une ligne Russie-Maurice-Réunion-Seychelles". Elle vient aussi de lancer une campagne de communication en Inde baptisée "Weddings are made in heaven". Et le ministre mauricien de commenter : "On peut y ajouter "honey moon à la Réunion". Tout est possible !".
une présence commune aux salons du tourisme
Selon lui, il faut trouver "un package compétitif pour le touriste européen, indien, chinois, russe". Le ministre propose une soirée "océan Indien" lors des salons internationaux du tourisme (Top Résa, ITB Berlin, Salon du tourisme à Londres) et un stand commun océan Indien en 2012. Le ministre mauricien compte beaucoup sur l’aide de Didier Robert, président de la Région Réunion. Le projet "Iles Vanille" devrait être finalisé avant mars 2011. Jeudi, à l’issue de la rencontre entre les tours-opérateurs indiaocéaniques à l’île Maurice (lire notre édition d’hier), des professionnels réunionnais étaient un peu mécontents. "En gros, on nous a dit est-ce que le petit wagon réunionnais peut suivre la locomotive mauricienne ?" Une question qui a choqué certains... Mais force est de constater aujourd’hui que, dans le développement du tourisme, Maurice a des années d’avance sur la Réunion. Et donc, une grande expérience. "Il faut mettre notre égo de côté. On a beaucoup à apprendre ! Et puis, si nous n’y allons pas, les Mauriciens le feront sans nous", fait remarquer la responsable d’une agence de voyages dionysienne qui a assisté au workshop de la MTPA. Le message est lancé…
Source Jir

vendredi 24 septembre 2010

Voyageurs ou touristes ?

Une dimension politicienne des phénomènes économiques et sociaux que celui-là. Le touriste est devenu un nouveau type de consommateur de masse, en perpétuel création depuis vingt ou trente ans. De provenance des pays industrialisés, il représenterait soir disant l’avenir : à défaut de produits manufacturés, on il achètera le produit du terroir et viendra dans des peudos hôtels de charme, s'insurge et clame Michel Houellebecq dans son dernier opuscule littéraire , "La Carte et le Territoire". Force de constater que depuis l’explosion des vols low-cost, et la baisse perpétuelle du coût des voyages, le touriste occidental poursuit inexorable une quête effrénée de l'exploration du monde à bas prix.
Au risque de polluer tout ce qui est beau voir de dévaloriser le produit et la destination …


Il n’y a rien de plus laid qu’un touriste "Rucksack old shoes of fingers",en short inélégant, tee-shirt ample, lunettes de soleil, bob ou casquette. Poussettes le cas échéant. Au pire, poncho les jours de pluie. Le touriste se répand, en meute, tel un virus, selon un modèle préformaté et uniforme, et ce qu’il soit français, japonais, chinois, américain, Italien, hollandais ou allemand.

Non content de ressembler à tous ses congénères, le touriste aime agir de manière automatique. Tel un mouton de panurge, il se comporte comme tous les autres touristes. De toute manière, il lira les mêmes guides. Imperturbablement, il visitera ainsi les mêmes coins de rue, admirera les même statues, flânera dans le même quartier pittoresque, admirera le même point de vue, et se reposera dans le même café authentique conseillé par le Guide du routard. Il ne sait plus s’il visite ce qu’il faudrait visiter, ou ce qui pourrait être beau.

Le touriste est disgracieux arrogant et parle fort, en particulier lorsqu’il est italien ou français normal se sont des Latins. Il se croit en terrain conquis, surtout s’il est à l’étranger. Et j’allais dire, surtout s’il est français. Lui, il est le client, et le client est roi. Il se promène dans les églises au mépris des horaires de culte, il jette ses papiers gras au sol, il se croit seul au monde. S’il est britannique ou américain, il pense que la planète entière parle anglais, et qu’il est en droit d’aborder l’autochtone dans la langue de Shakespeare.

Le touriste aime les photographies. Il passe le 3/4 du temps de son séjour l'œil rivé derrière son appareil photo ou de sa caméra . Pour ne rien louper, pour se constituer des souvenirs, pour rapporter des témoignages de sa présence sur des sites prestigieux.
Le touriste aimera donc demander à des passants proches de l'immortaliser devant la Tour Eiffel, le Taj Mahal ou les ruines du World Trade Center.
Certains iront encore plus loin, et appuient à tout bout de champ sur leur déclencheur. Une fenêtre, un volet, un chat qui passe. On en voit même photographier des cartes postales. Les pauvres malheureux.

L’autre version, c’est le touriste qui aime filmer. Encore pire. Ce dernier marche constamment avec son engin branché, qu’il tient à bout de bras comme un grand reporter de guerre. Comme ça, il pourra revivre son voyage à son retour. Son voyage dont il n’aura pas profité, tout concentré qu’il était à filmer. Son voyage dont il reviendra avec une crampe au bras, c'est son Kiné qui va être heureux de le voir revenir .

Lorsque le touriste pénètre dans un site touristique, il se jette sur la boutique de souvenirs. Le magnet « tour de Pise ou du mont Saint Michel » feront sensation sur le frigo. Les Pyramides dans une boule à neige, collector! Et je ne te parle pas du tablier vareuse « Westminster ». Quant au tee-shirt « I love NY », il est carrément objet culte!

Le touriste aimerait découvrir la culture, les traditions de l’endroit qu’il visite, souhaiterait parfois larguer le flux des touristes mais il est coincé : s’il sort des sentiers battus, il sera perdu, et dévoré par les loups. S’il y reste, il sera englouti dans l'enfer infernal du marketing et le piège à con de touristes. Alors, il acceptera son triste sort. Et reste un touriste.



Mais ce qui est le plus hilarant, dans la forme comportementale du touriste, c’est sa propension à vouloir se moquer des autres touristes. Et à se croire au-dessus du lot de ses coreligionnaires de touristes. Ceux-là, ce sont les pires. D’ailleurs, quand ils rentrent de vacances, après avoir côtoyé des touristes, il arrive qu’ils fassent étalage de leur aventures . Histoire de se prouver à eux-mêmes qu’au moins, eux, ils ne sont pas des touristes. Pardi il suffit de prendre "La Carte et le Territoire" pour prendre lecture hors des sentiers battus.

samedi 18 septembre 2010

La profession d’architecte aujourd’hui

Chercheur au Centre de sociologie des arts (CNRS-EHESS), Florent Champy s’est notamment intéressé aux difficultés actuelles de la profession d’architecte (1). En France, 68 % de la construction est réalisée sans architecte, ce qui prouve l’inefficacité d’un monopole d’exercice instauré par la loi du 3 janvier 1977 (2). L’étude de ce sociologue montre que la situation des architectes, plus défavorable en France que dans la plupart des autres pays de l’Union européenne, s’explique par le repli de la profession sur une identité d’artiste qui ne lui a permis de convaincre la puissance publique et ses clients potentiels ni du haut niveau de ses compétences, ni de l’utilité sociale de son intervention ; la profession manque en effet d’une définition consensuelle de la notion de qualité architecturale et d’une unité suffisante dans son travail de communication extérieure. La puissance publique et les architectes tentent actuellement de remédier à cette situation en réfléchissant à une réforme du droit. Mais une telle réforme est-elle suffisante ? Comment conquérir de nouveaux débouchés ? Pour répondre à cette question, il est avant tout nécessaire de comprendre pourquoi la profession d’architecte est si faible en France.
Dans le cadre d’une recherche sociologique consacrée aux évolutions de la commande publique d’architecture en France depuis les années 1970 (3) et à leurs conséquences pour les architectes, Florent Champy, chercheur au Centre de sociologie des arts (CNRS-EHESS), s’est intéressé aux difficultés actuelles de ces derniers. La faiblesse de la profession d’architecte se lit d’abord économiquement. Chaque année depuis à peu près dix ans, environ un architecte libéral sur six n’obtient aucune commande et doit vivre d’autres activités ou de solidarité familiale. En 1995, 48 % des libéraux ont gagné moins de 150 000 francs nets. L’explosion des effectifs professionnels, de 9 061 au 31 décembre 1970 à 26 797 au 31 décembre 1996, contribue à rendre compte de ces difficultés, mais elle ne suffit pas : les architectes sont moins nombreux en France que dans la plupart des pays de l’Union européenne (la France compte 45 architectes inscrits à l’Ordre pour 100 000 habitants, contre 82 pour l’ensemble de l’Union européenne, et environ 120 en Allemagne, 115 en Italie, 60 en Espagne et 50 au Royaume-Uni). Il faut donc chercher les explications avant tout du côté de la répartition des demandes de prestations d’architecture, et notamment des 68 % de constructions réalisées sans architecte.

Sur un plan juridique, les limites du monopole instauré en 1977 expliquent cette situation, puisqu’il ne concerne que les bâtiments neufs non agricoles de plus de 170 m2 ou dont le maître d’ouvrage est une personne morale, les bâtiments agricoles de plus de 800 m2 et les réhabilitations qui s’accompagnent de modifications de façades ou d’un changement de desti-nation du bâtiment. Le monopole laisse donc échapper la plupart des réhabilitations et le marché des maisons individuelles, qui prenaient une importance croissante au moment même où la loi était votée (4).

De plus, même quand le recours aux services d’un architecte est obligatoire, le droit laisse subsister des incertitudes importantes quant à l’extension de son intervention. L’étude de la division du travail montre ainsi que les architectes ont été dépossédés de certaines tâches au profit d’autres acteurs : la programmation (élaboration du cahier des charges de l’opération) avec l’apparition depuis vingt ans des " programmistes ", le calcul des coûts avec l’intervention des économistes de la construction, le contrôle de la constructibilité et de la sécurité avec les bureaux d’études techniques et les bureaux de contrôle.

Un détour historique et des comparaisons internationales éclairent la situation contemporaine. Dès le XVIIIe siècle, les architectes de l’Académie royale, concentrés à Paris, attachés à leur identité d’artiste (5) et intéressés uniquement par les prestigieuses commandes royales, ont abandonné la plupart des constructions aux ingénieurs du corps des Ponts, plus nombreux et répartis sur l’ensemble du territoire. Au cours des XIXe et XXe siècles, les réformes visant à renforcer la technique dans l’enseignement de l’architecture ont échoué. Dans d’autres pays d’Europe, les architectes sont à l’inverse proches des ingénieurs. En Italie, les deux groupes professionnels se sont alliés entre les deux guerres pour obtenir des missions nouvelles en réponse aux besoins du régime fasciste, dont le souci d’encadrement totalitaire de la société s’est traduit par la mise en place d’une politique centralisée d’urbanisme requérant l’intervention de professionnels. En Espagne, l’architecte a pu garder l’autorité sur les autres intervenants de la conception, grâce à ses compétences techniques acquises au cours de deux années d’études communes avec les ingénieurs. En Italie, en Allemagne, en Angleterre et au Portugal, l’enseignement dispensé aux architectes est aussi commun pendant un ou deux ans avec celui des futurs ingénieurs. En France, seule l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Industries de Strasbourg a su instaurer cette proximité avec les ingénieurs, mais ceci en raison des liens historiques de la région avec l’Allemagne.

Isolés et repliés sur leur identité d’artiste, les architectes ne peuvent convaincre qu’ils détiennent un savoir de haut niveau et socialement utile. Comme la médecine, l’architecture est une pratique. Mais alors que la première a pu se constituer en discipline, la seconde n’y est pas parvenue. Or pour obtenir la protection d’un monopole d’exercice efficace sur un marché, un éventail de savoirs disparates n’a pas la même efficacité rhétorique et sociale qu’un savoir facilement identifiable. Aucune des nombreuses compétences détenues par les architectes ne les protège de la concurrence d’autres métiers. Le savoir technique a été négligé par les architectes, moins bien formés que les ingénieurs et donc peu compétitifs dans ce domaine. La compétence esthétique sur laquelle ils se sont repliés manque d’efficacité : dans les démocraties libérales attachées à l’autonomie de l’art, il est désormais impossible de fonder un statut professionnel officiel, en dehors de l’enseignement, sur la maîtrise de savoirs ou de savoir-faire esthétiques, car cela reviendrait à rétablir une académie. Quant aux compétences de gestion ou d’organisation du travail, elles ne sont pas propres à la pratique architecturale.

Une profession ne peut être protégée de la concurrence que si elle justifie son statut privilégié par sa contribution au bien commun. Or l’utilité sociale de l’architecte n’est pas plus facile à identifier que sa compétence. L’apport esthétique auquel la majorité des architectes est particulièrement attachée est inopérant, notamment parce que le goût du public et celui des architectes divergent. L’absence de consensus sur la qualité architecturale empêche de rendre lisible la contribution de l’architecte au bien commun. Surtout, les architectes qui partagent un point de vue dans les débats professionnels tentent de renforcer leur position en critiquant publiquement celui de leurs concurrents. Ainsi, le passage au cours des années 1970 du modernisme au post-modernisme résulte pour partie de la critique de la majorité des réalisations des décennies d’après-guerre par de jeunes architectes désireux d’accéder aux commandes au détriment des concepteurs de ces bâtiments. Justifiée ou non, cette critique a eu pour effet de décrédibiliser et d’affaiblir l’ensemble de la profession.

La conquête par les architectes de nouveaux débouchés supposerait qu’ils saisissent les occasions qui se présentent à eux de convaincre que leur intervention répond à de vrais besoins, c’est-à-dire sert des valeurs émergentes ou aide à résoudre des problèmes d’intérêt général : le désir de confort urbain, le développement durable, les besoins des familles recomposées, auxquels les logements ne sont plus adaptés, le problème de l’insécurité urbaine... Ils devraient aussi, au-delà de leurs dissensions, élaborer un socle de savoirs communs à tous les professionnels et transmis par toutes les écoles, en tenant compte des attentes de leurs commanditaires et de ces demandes sociales nouvelles auxquelles ils souhaitent répondre (6).

 

Pourquoi est-il utile de faire appel à un architecte?

Dernièrement je visitais une maison fraîchement acquise par des relations. 
Ces derniers m'indiquent qu'ils vont faire d'importants travaux, comprenant notamment l'abattage de murs et le percement du sol du rez-de-chaussée pour créer un escalier d'accès au sous-sol.


Aussi, je leur demande s'ils ont sollicité les services d'un architecte pour ce type de travaux qui vont probablement toucher la structure de la maison.

Réponse des intéressés : « l'architecte, c'est nous ! »

Je peux certes comprendre que nombre de particuliers ne souhaitent pas investir dans les services insignifiant  d'un architecte, souvent perçu comme onéreux et inutile lorsqu'il ne s'agit pas de déposer de Permis de Construire.

Pourtant... il me semble plus judicieux de recourir à un tel Maître d'oeuvre lorsque les travaux dépassent la simple décoration intérieure.

En effet, la présence de l'architecte offre des avantages tant pendant les travaux qu'après.

Pendant les travaux

Tout simplement, la présence de l'architecte permet d'être raisonnablement certain que les travaux seront bien faits. En effet, même s'il n'a pas vocation à être constamment sur le dos des entrepreneurs (il est censé venir sur place une ou deux fois par semaine) il dirige le chantier, vérifie ce qui est fait et fait refaire ce qui est mal fait.

Il a pour cela un bon moyen de pression puisque c'est lui qui dit au Maître d'Ouvrage ce qu'il peut payer à l'entrepreneur, en fonction des travaux réalisés. En cas de malfaçons, il va tout simplement conseiller au Maître d'Ouvrage de ne pas payer tant que le travail n'est pas satisfaisant.

En outre, en amont, en principe, il conçoit les travaux ce qui est une garantie de qualité.

Dans mon exemple, il pourra s'assurer qu'il n'y a pas de danger à abattre des murs et s'assurera, notamment, qu'il ne s'agit pas de murs porteurs dont la disparition mettrait en danger la structure. Idem pour le percement de la trémie d'escalier.

Alors, évidemment, à l'issue d'un chantier où tout s'est bien passé, le Maître d'Ouvrage aurait tendance à dire que l'architecte n'a servi à rien. Mais peut être que tout s'est bien passé notamment parce que l'architecte était là...

A la fin des travaux

Outre sa mission de direction pendant le chantier, l'architecte doit assister le Maître d'Ouvrage pour la réception des travaux, dont il est souhaitable qu'elle intervienne  dès que les travaux sont achevés.

L'architecte doit notamment aider le Maître d'Ouvrage à lister toutes les réserves à la réception et les indiquer sur le procès verbal de réception.

Il assiste donc le Maître d'Ouvrage pour toutes les finitions des travaux, et doit intervenir auprès des entreprises pour qu'elles reprennent les éventuelles réserves.

L'architecte offre ainsi une assistance pour la bonne fin des travaux, ce qui est parfois difficile à faire soi même.

En outre, comme je l'indiquais plus haut, il assiste également le Maître d'Ouvrage pour le règlement des entreprises, en ce qu'il vérifie que les sommes demandées correspondent bien à des travaux convenablement effectués.

En cas de problème avec ou sans réception des travaux

Il faut savoir que parfois, l'architecte est, en cas de problème, le seul recours qui pourra effectivement permettre de résoudre les éventuels désordres affectant les travaux, que la réception soit intervenue ou non (surtout si elle n'est pas intervenue, puisque les assureurs n'assurent qu'après réception).

Il est redevable d'une responsabilité étendue tant en termes de réalisation des travaux que de conseil. En outre il est généralement très correctement assuré (ne pas oublier de lui demander son attestation d'assurance  avant de signer avec lui).

De la sorte, si, par exemple, la réception n'est pas intervenue et que l'entreprise est défaillante, c'est l'assureur de l'architecte qui prendra finalement en charge la réparation des dommages.

Donc, en synthèse, avoir un architecte offre non seulement la compétence de ce dernier pour les travaux, mais une garantie supplémentaire en cas de problème. C'est pourquoi il me semble que cela constitue un investissement opportun.

vendredi 17 septembre 2010

Niches, dettes et déficits : une petite mise en perspective

La crise est là : il faut faire des économies. Ce sera un mauvais moment à passer, mais il faut remettre un peu d’ordre dans nos finances. Heureusement, nous avons une fine équipe aux commandes, et déjà, des plans courageux de remise en forme de notre budget apparaissent. Remise en forme ? Que dis-je ! C’est bien de body-building acharné qu’il faut parler, avec fitness et natation trois heures par jour minimum, pour faire disparaître les bourrelets disgracieux de l’État et lui rendre la forme olympique qu’on lui connaît !

Cependant, à en croire la presse spécialisée et une bonne partie de l’opposition, on frise l’overdose : le risque de claquage budgétaire n’est pas à écarter devant tant de coups de rabots vigoureux sur un budget déjà taillé au millimètre pour rentrer dans les normes strictes qu’on s’impose lorsqu’on est en cure. Ainsi, pour le PS, la crise est peut-être finie, mais il ne faudrait pas oublier les arrosages précis et efficaces qui eurent lieu ces derniers mois et dont le succès flamboyant  n’est plus à démontrer.
Mais le pari est lancé, le but est clair : on ne va pas se dégonfler maintenant, zou, on y va, en petites foulées, il va falloir économiser.
Christine Lagarde (qui vit de l’impôt) a donc sorti sa petite calculatrice, aidée en cela des experts de Bercy (qui vivent de l’impôt) et des nombreux conseillers (qui vivent de l’impôt) qui l’entourent et lui fournissent de précieux renseignements pour piloter correctement le Navire France dans les eaux tumultueuses d’une relance épique.
Les conclusions sont unanimes et cohérentes : on ne va pas vraiment diminuer les impôts, et pour ce qui est des économies, on va faire, accrochez-vous bien, près de pardon plus de disons au moins ou autour de quarante milliards d’euros. Oui, je le répète, quarante milliards d’euros d’économies, ce n’est pas rien mes chers enfants, on y va carrément, c’est du lourd, du sans concession.
Et comme le dit Christine, pas question de limiter la rigueur à quelques niches : ce n’est pas une petite lime à ongle qu’on va passer sur le budget, mais elle va, nous apprend-elle, utiliser une lame de couteau suisse
Et pour le budget de l’année prochaine, cela se traduira donc par une diminution du déficit dans des proportions assez gigantesques, puisqu’on parle donc de ces 40 milliards de réduction des déficits. Ça claque, hein, on sent que ça rigole moins dans le fond.
On veut une forme olympique ou pas, après tout.
40 milliards. Retenons ce chiffre.
Et puis, pour rire, jouons avec les grandeurs : nous avons donc un petit 150 milliards de déficit pour cette année, un peu plus de 1500 milliards de dettes mais ne chipotons pas, une année prochaine avec un déficit avoisinant les 100 milliards, et un coup de rabot de 10 milliards dans les niches. Et cette phameuse économie totale de 40 milliards.
Tiens, 10 milliards sur 150 d’économie, c’est-à-dire le fameux coup de rabot sur les niches, c’est à peu près comme si on enlevait la (petite) barre bleue du forêt à béton de la chignole suivante, avant d’annoncer que le reste de la mèche, tout le reste, sera introduit dans le contribuable pour assurer les activités normales et bien évidemment indispensables de l’état.
Soulagement du moutontribuable : quelques millimètres de moins, c’est toujours bon à prendre, non ?
Cependant, histoire d’aller plus loin dans l’image, mettons en rapport grossier la dette actuelle, le déficit courant et les économies envisagées. Ils ‘agit d’un montage rapide, pas exact au pixel près, mais respectant globalement les grandes masses.
Imaginons que la dette est un gros camion poubelle, ce qui est commode comme métaphore puisqu’après tout, ça pue, ça pollue, ça fait du bruit mais il semble que l’État n’arrive absolument pas à s’en passer et qu’en plus, c’est lui qui le pilote en faisant des wheelings sous les fenêtres des citoyens pour l’impressionner à grands coups de klaxon.
Si l’on file la métaphore, le déficit courant est donc l’équivalent d’une petite Smart, un peu tassée (parce que la dette est bien grosse et que le déficit, à côté, reste tout petit).
Quant aux économies, c’est le petit bonzaï rouge.

Moyennant une forêt de bonzaï, on devrait arriver à juguler le déficit.
Comme on peut le constater, les efforts proposés ne sont même pas de l’ordre de la lime à ongle ; on sent que la construction d’un budget crédible va demander un peu plus que les quelques lames du petit couteau suisse de nos joyeux scouts de Bercy, qui s’emploient gentiment à construire une cabane au fond du jardin en lieu et place du bunker antiatomique qu’il va bientôt nous falloir.
Bref : tout ceci est purement symbolique. Outre le renouvellement d’un déficit abyssal l’année prochaine, ceux qui nous gouvernent n’ont toujours pas pris la mesure des enjeux. Ils sont, consciemment ou pas, comme beaucoup de gens dont les capacités s’amenuisent à proportion du gigantisme des montants ou volumes manipulés.
Pour simplement revenir à un budget décent, sans déficit, l’économie devrait porter sur 2,5 à 3 fois les montants discutés, et ceci ne permettrait qu’un répit tout à fait temporaire dans l’accroissement de la dette (même pas de son remboursement).
Quant à l’issue de cette inconscience, de cette incapacité à gérer ces volumes, on la connaît.
selon  Hashtable